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Traquenard (suite et fin)
par Anonymous le, 19/10/2012

Quelques semaines plus tard, je suis invité à passer le week-end chez un autre copain de fac, nommé Daniel. Comme convenu, je me présente chez lui à 20 heures. Je sonne à sa porte. Daniel m'ouvre et me dit qu'il ne faut pas perdre de temps: nous devons partir tout de suite car le trajet dure plus de deux heures. Je lui demande où on va exactement et il me répond que c’est une surprise. Nous montons donc dans sa voiture: nous voici en route.

Après deux heures de route, Daniel emprunte un étroit chemin de terre qui nous fait pénétrer dans un coin isolé de la campagne. Nous nous trouvons maintenant dans une zone qui, à cette heure tardive, est totalement déserte et noire. Daniel ralentit et stationne la voiture en bordure du chemin. Il allume la lampe intérieure et m’informe que cet arrêt ne durera que quelques minutes, le temps de procéder à certains préparatifs préliminaires. C’est alors qu’un jeune homme s’approche à pied de la voiture: je reconnais Serge et je comprends que celui-ci a décidé de se venger du traquenard que je lui ai tendu, avec la complicité de Daniel…

Ils me demandent d'abord d'enlever ma chemise. Un peu inquiet, je m’exécute néanmoins sans rechigner. Me voici donc torse nu. Ils me demandent ensuite d'ouvrir la boîte à gants et de leur remettre ce qui se trouve à l'intérieur. J’en sors des menottes et un bandeau de tissu noir. Ils m’expliquent alors qu'à partir de maintenant, il ne faut pas que je puisse voir le reste du trajet et que, pour cette raison, ils vont me passer les menottes et me bander les yeux.

Je pousse un rire nerveux et je dis:"Hé ben... Est-ce que c'est vraiment nécessaire ?" Serge me répond:"Eh oui, mon beau, c'est comme ça et t'as pas d'autre choix." Je leur tends les menottes et le bandeau, puis ils me demandent de me retourner et de leur présenter mes bras par derrière. Ils me mettent les menottes aux poignets, ce qui ne prend que quelques secondes. Ils me bandent ensuite les yeux et la voiture redémarre aussitôt.

C'est donc le torse nu, les mains menottées derrière le dos et les yeux bandés que je fais le restant du trajet. Je reste silencieux, tandis que Daniel et Serge parlent de tout et de rien comme si je n'étais pas là, malgré le caractère incongru de la posture dans laquelle je me trouve.

Nous voici enfin parvenus à destination. Daniel et Serge m’aident à descendre. Ils me font entrer dans une maison, m’enlèvent le bandeau des yeux et me l'attachent sur la bouche tel un bâillon, pour m’empêcher de crier. Ils m’accrochent ensuite les mains à deux bouts de chaîne qui pendent à une poutre, m’enlèvent mes chaussures, mes chaussettes, mon pantalon et mon slip, me laissant ainsi debout, entièrement nu, les bras fortement tendus au-dessus de la tête.

Daniel m’explique alors :"Tu vas rester attaché tout nu, aussi longtemps qu’on le voudra. On va pouvoir faire de toi tout ce qu’on voudra. Tu ne pourras même pas crier puisque tu es solidement bâillonné. Et de toute façon, on est dans une zone tellement isolée que personne ne pourrait entendre tes cris"…

C'est dans cette posture que j’ai passé l’essentiel de ce week-end, y compris pendant les repas où j’étais nourri à la cuiller: ils m’enfonçaient de force la nourriture dans la bouche, pour ne pas me laisser le temps de parler ou de crier. Ils m’ont tout de même permis de dormir quelques heures, toujours nu comme un ver, bâilloné et menotté, sur un mince matelas déposé sur le plancher du salon…

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