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Ascenseur
par Greg le, 10/11/2016

Un défi idiot que j’ai accepté de relever, et me voilà obligé de les laisser faire de moi ce qu’ils veulent pendant toute la soirée, en pleine résidence universitaire. Rapidement, ils m’enlèvent mon tee-shirt et m’attachent les mains dans le dos avec une paire de menottes. Puis ils m’enlèvent le reste de mes vêtements, me bandent les yeux et me bâillonnent solidement.

Ainsi réduit à l’impuissance, nu et aveugle, ils me guident alors en me poussant à avancer. Une porte s’ouvre. Après quelques pas, je comprends que je suis dans le couloir de la résidence. J’essaye alors de me débattre et de leur opposer un semblant de résistance, mais dans le noir, à un contre trois, avec mes bras attachés dans le dos, la partie est inégale, et je n’ai finalement pas d’autre choix que d’avancer, inexorablement.

Quand enfin on s’arrête, je n’attends que quelques secondes avant d’entendre une porte d’ascenseur. Alors que je suis maintenant dans la cabine, l’un d’eux me serre fortement les bras l’un contre l’autre dans mon dos, et je sens les menottes s’ouvrir l’une après l’autre, puis se refermer. Je me rends compte que je suis maintenant attaché à une rampe métallique située dans l’ascenseur, une main de chaque côté.

Je les entends alors me dire « A tout à l’heure » dans un fou rire, puis la porte de l’ascenseur se referme et l’ascenseur commence à monter. Est-ce que ce sont eux qui se sont amusés à le faire monter ou est-ce que c’est quelqu’un d’autre qui l’a appelé ? Je n’en sais rien, mais la honte est à son comble au moment où les portes s’ouvrent à nouveau. Quand elles se referment et que l’ascenseur reste sur place, je me rends compte que personne n’est monté, et que ce sont eux qui l’ont envoyé plus haut. Mais de toute façon le problème n’est que repoussé, car j’ignore pour combien de temps je suis là.

Quelques minutes plus tard, l’ascenseur redescend et ma honte monte encore d’un cran, surtout quand j’entends plusieurs voix, féminines et masculines, alors que l’ascenseur ralentit. Quand les portes s’ouvrent, j’entends fuser les rires et les remarques désobligeantes, et je suis d’autant plus frustré que je ne peux pas voir les personnes qui entrent dans la cabine et qui se pressent à proximité de mon corps nu. L’ascenseur remonte alors, tandis que les discussions et remarques se poursuivent, jusqu’à un nouvel arrêt où la cabine se vide.

Pendant près de deux heures s’enchaînent alors montées et descentes, avec la même honte et la même angoisse à chaque fois, allers et retours à vide ou en charge, avec des filles et des mecs qui ne lésinent pas sur les remarques et les moqueries, n’hésitant pas à prendre des photos ou parfois même à me toucher.

Au bout d’une énième montée, j’entends des voix connues me demander si je me suis bien amusé. Je comprends alors que c’est terminé : ils m’enlèvent mon bandeau et mon bâillon, puis pendant que l’un d’eux me tient à nouveau fermement les bras, un autre détache les menottes pour les refermer aussitôt sur mes poignets. Avant de m’abandonner là, l’un d’eux me lance :

« Tes fringues sont dans ta voiture, les clés de ta voiture et des menottes sont dans ma boîte aux lettres, et la clé de ma boîte aux lettres est cachée quelque part dans le hall de la résidence. Bonne soirée. »

Avant que j’aie pu dire ouf, les portes de l’ascenseur se referment et celui-ci monte à nouveau. Heureusement, personne ne monte et j’appuie tant bien que mal sur le bouton du rez-de-chaussée. Arrivé là, j’ai la mauvaise surprise de croiser un groupe d’étudiants des deux sexes, qui, avant de monter dans l’ascenseur, en profitent pour se moquer encore une fois de moi, nu comme un ver et les mains attachées dans le dos. J’essaye de ne pas m’attarder sur les téléphones qui me prennent en photo et je rejoins les boîtes à lettres.

Je trouve assez rapidement la clé salvatrice, mais j’ignore le nom de l’étudiant chez qui je m’étais rendu et je suis donc obligé d’essayer la clé dans toutes les boîtes jusqu’à trouver la bonne. De dos, avec les mains liées, ce n’est qu’au bout d’une trentaine de serrures que je l’ai enfin trouvée, après avoir encore croisé quelques groupes d’étudiants hilares. J’attrape tant bien que mal les clés qui se trouvent dans la boîte, et je détache rapidement mes bras endoloris. Je laisse tout sur place et je me dirige nu vers le parking pour rejoindre ma voiture, dans laquelle je retrouve enfin mes vêtements…

 

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