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Mon bizutage en fac de langue
par FranckV le, 09/05/2013

Septembre 1990 - âge : 21 ans

• Nouvelle fac…

Après mon baccalauréat, je m’étais obstiné à faire des études de sciences. Je rêvais de travailler dans la chimie et ces études étaient nécessaires pour y arriver… Mais ce ne fut qu’un beau rêve. Je n’avais pas les capacités pour ce genre de travail et après m’être entêté trois ans, je finissais par capituler et me réorienter vers une faculté de langues. L’anglais avait toujours était une passion pour moi et reprendre des études d’anglais était d’une certaine façon ma roue de secours. La fac de langues était un autre monde, un autre univers. En sciences, tout me semblait carré et bien droit. Les étudiants étaient « propres sur eux », les bâtiments étaient parfaitement rangés sur le campus et tout semblait organisé à la perfection. Trop beau pour être honnête bien entendu… A la fac de langues, c’était plutôt le contraire… Les gothiques côtoyaient les hippies. Les punks, les anarchistes et les fils à papa se croisaient dans les couloirs. Les extrémistes de tous bords et tous horizons discutaient avec les junkies… On y trouvait de tout. Le campus était un amoncellement de bâtiments éparpillés n’importe comment et le tout ressemblait à une énorme fourmilière.

L’ambiance générale était très différente. En sciences, c’était assez froid et bon enfant. En langues, c’était presque la fête tout le temps, comme si les étudiants savaient apprécier la vie à sa juste valeur. De nombreuses soirées organisées... De nombreuses associations très sympathiques… Et tout cela dans la bonne humeur et la joie de vivre. Une association m’avait attiré en particulier. Un genre de petit bar pour étudiants anglicistes. Et je me décidais de m’y enrôler… Mais là, une surprise m’attendait. Bien que les bizutages ne soient pas de rigueur lors de l’entrée en faculté de langues, l’association que j’avais choisie pratiquait un système similaire où un parrain ou une marraine guidait les nouveaux venus au travers de diverses formes de bizutages. Je ne savais pas comment le parrain ou la marraine choisissait son ou ses filleuls, mais je savais comment nous choisissions notre forme de bizutage. Tout d’abord, nous avions un « entretien » avec notre parrain ou notre marraine qui nous posait plein de questions sur notre vie, sur nos études, nos goûts… Sûrement une façon de nous jauger et de voir ce que nous pouvions supporter ou non. Ensuite, il y avait une boîte remplie de petits papiers. Nous devions en tirer un au sort et le thème de notre bizutage était écrit dessus. En résumé, beaucoup de parrains, beaucoup de marraines, beaucoup de bizutés et presque personne avec le même rituel de bizutage. C’était original. Cela allait du simple défilé dans les rues de la ville, déguisé en poulet géant, à la pétition sur du papier toilette, en passant par l’épilation intégrale ou le dépucelage devant un jury… J’étais tout de même inquiet de ce qui me tomberait sur la tête. Je n’imaginais pas devoir faire l’amour à une fille devant un jury par exemple. Mais bon, je n’étais pas obligé non plus. Je pouvais très bien refuser et ne pas faire partie de l’association… Je pouvais aussi très bien, s’il le fallait, expliquer à mon parrain que j’étais gay et qu’il m’était impossible de coucher avec une fille…

Mon parrain s’appelait Denis. Il était en DEA de Linguistique anglaise. Il était très sympathique et souriant. Il ne m’avait pas paru être du genre à maltraiter ses filleuls… ou plutôt son filleul puisqu’il n’avait que moi… Enfin, au début. Il avait pris pas mal de notes lors de mon « entretien » et j’avais vu qu’il avait souri à certains moments. Il avait fini par me dire que j’étais un cas particulier et que je n’aurais pas à tirer de petits papiers au sort car mon entretien avait déterminé mon bizutage. Il me dit qu’il lui fallait cependant un autre nouveau postulant pour pouvoir réaliser mon bizutage. Il devait voir avec tous les autres parrains et toutes les autres marraines pour voir si mon « complément » était là.

Il finit par revenir accompagné d’un autre garçon qu’il me présenta. Il s’appelait Jérémy et il était en deuxième année. Plutôt mignon. Environ 1m75, cheveux noirs, yeux verts. Denis nous dit qu’on avait un point commun et que c’était ce point commun qui avait déterminé notre bizutage : Notre année de naissance… Nous étions tous les deux de 1969… La plupart des nouveaux arrivants étaient de première année et venaient tour droit du lycée. Ils étaient de 1972 ou 1971 pour la plupart. Certains étaient de 1970 mais apparemment, seuls Jérémy et moi étions de 1969 suite à nos parcours universitaires un peu particuliers. Il ne me fallut pas très longtemps pour comprendre que notre bizutage serait chaud… Très chaud ! Mais j’étais en bonne compagnie.

• Une nouvelle épreuve

Denis nous conduisit dans la résidence universitaire où il avait sa chambre d’étudiant. Il nous dit de patienter une petite demi-heure. Il avait des choses à aller chercher pour notre bizutage. Cela nous laisserait le temps de faire connaissance. Jérémy et moi avons alors attendu dans cette petite chambre de 15 m² environ. Nous avons eu le temps de nous présenter, de parler un peu de nos vies respectives, de nos études, de nos passions… Denis revint 35 minutes plus tard, un sachet plastic à la main.

— Bon, vous êtes prêt ?

Nous répondîmes par l’affirmative.

— Ok. Déshabillez-vous alors.

Denis vit que cette demande nous avait surpris mais c’était apparemment exactement ce à quoi il s’attendait. Il sourit puis ajouta :

— Retirez tout sauf vos caleçons… Enfin, pour le moment….

Nous nous sommes alors exécutés et bientôt, nous étions tous les deux en slip. Jérémy était plutôt bien foutu et son sous-vêtement très moulant dessinait parfait les contours de son sexe qui semblait d’une taille raisonnable.

Denis nous tendit des chaussettes et nous dit de les mettre à nos mains. Nous avons alors enfilé nos paires de chaussettes. Il sortit ensuite une bande extensible du sachet. Il en coupa quatre grandes sections et les enroula autour de nos mains et de nos poignets. Puis, il les maintint en place avec du ruban adhésif de très bonne qualité. Nous ne pouvions plus bouger nos doigts qui se trouvaient ainsi emprisonnés comme des momies. Denis nous demanda ensuite de joindre nos mains dans le dos. Il sortit alors un rouleau de scotch marron destiné aux cartons d’emballage et de déménagement. Le genre de scotch à toute épreuve. Il prit soin de nous joindre les mains avec ce scotch et il en déroula suffisamment pour qu’il nous soit impossible de nous en débarrasser. Jérémy et moi étions donc incapables d’utiliser nos bras ou nos mains. Nous étions presque nus dans cette chambre, à la merci de notre parrain. Denis sortit autre chose de son sachet plastic : Deux préservatifs. Il les sortit de leurs emballages et les posa sur la petite table de cuisine. Il nous précisa que les laisser scellé aurait été dégueulasse de sa part et qu’il nous trouvait sympa et que donc, il nous donnait un petit coup de pouce… Puis il nous dicta les règles du jeu :

— Voilà, je vous explique ce que vous allez devoir faire. Comme vous l’avez vu, il y a deux préservatifs. Un pour chacun d’entre vous. Votre mission, remplir chacun un des préservatifs de votre sperme. Moi, je m’en vais et je vous laisse tranquille pendant deux petites heures. Je pense que c’est suffisamment de temps pour vous laisser réfléchir à la meilleure façon de procéder pour réussir votre mission. Bien entendu, interdiction d’utiliser vos mains. Par précaution, pour que vous ne soyez pas tenté de tricher, j’ai préféré vous en priver. Bonne chance. Amusez-vous bien !

Denis quitta la pièce et ferma à clé derrière lui. Jérémy semblait complètement perdu et ne semblait pas avoir la moindre idée de la façon dont il pourrait procéder pour y arriver. Moi, j’avais bien compris où Denis avait voulu en venir… Il suffisait de se souvenir de notre année de naissance… 1969… 69… Chiffre magique. Il me fallait maintenant expliquer cela à Jérémy.

Jérémy s’interrogeait sur la façon de procéder pour retirer son slip. Il s’interrogeait aussi sur la façon d’enfiler sa capote… C’était ses deux plus grandes préoccupations et je pense qu’il n’était pas vraiment prêt à accepter tout ce que j’allais lui dire. Je me suis alors dit que la meilleure chose serait de procéder par étapes.

— J’ai bien une idée pour la façon de procéder mais je ne suis pas certain que ça te plaira ».

Jérémy me lança un regard interrogatif.

— Je pense avoir compris ce que Denis cherche à nous faire faire. C’est spécial et il faut voir maintenant si tu es prêt à faire quelque chose que tu n’aurais jamais pensé faire pour devenir membre de l’asso. Tu me fais confiance ?

Jérémy me dit que oui mais que je commençais un peu à lui faire peur.

— Je sais comment retirer nos slips… Pour le reste, c’est un peu le même principe.

Je me suis avancé vers lui puis, je me suis mis à genoux devant lui et j’ai avancé mon visage au niveau de son sous-vêtement. Sur l’instant, Jérémy eut un geste de recul mais il se ravisa, comprenant ce que j’allais faire et réalisant que c’était probablement la seule solution. Je pouvais sentir son odeur de mâle. Je me suis alors placé de telle façon à attraper une partie de son slip avec mes dents puis, j’ai tiré vers le bas. J’ai dû recommencer mon action à plusieurs reprises, changeant de place à chaque fois pour que le sous-vêtement commence lentement à glisser le long de ses jambes. A certains moments, mon visage était si proche de son pénis que je pouvais sentir cette petite odeur particulière et si agréable. Puis, je me suis décidé qu’il fallait qu’il comprenne vraiment ce que nous aurions à faire et j’ai attaqué de front. Mes dents attrapèrent son slip au niveau de son sexe qui commençait déjà à se dévoiler. Une partie de ma bouche touchait sa verge et mon visage se cognait contre son bas ventre. En un mouvement, je libérais son pénis de sa prison de tissu. Je remarquais que son sexe avait légèrement gonflé. On était très loin d’une érection mais c’était un bon début. Quelques instants plus tard, le sous-vêtement tombait à ses pieds. Instinctivement, Jérémy s’en débarrassait complètement.

— A toi maintenant, lui dis-je alors.

Je me suis relevé et bien qu’hésitant, Jérémy se plaça à son tour à genoux devant moi et commença, du bout des dents, à me déculotter. Il évita au maximum d’entrer en contact avec mon sexe mais au bout d’un moment, il fut bien obligé de le frôler. Finalement, ce ne fut pas si compliqué que cela, et nous fûmes rapidement nus tous les deux. Un début d’érection nous avait pris tous les deux mais il y avait encore du boulot.

— D’accord, ça, c’était facile, mais pour la suite, tu vas faire comment ? Je ne vois pas trop comment enfiler un préservatif… Surtout que là, tu vois, je bande même pas.

— De la même façon que pour le slip je pense. Si Denis les as retirés de leurs emballages, ce n’est pas pour rien. S’il nous a choisi parce qu’on est de 69, ce n’est pas pour rien non plus !

— Attends, tu veux enfiler un préservatif avec tes dents ? C’est impossible ! Et c’est dégueulasse.

— Tu veux faire partie de l’asso ?

— Oui.

— Alors ravale ta fierté de mâle viril un instant. Il n’y a pas d’autres solutions. Denis savait très bien ce qu’il faisait. Pour qu’on bande, on peut à la rigueur essayer de se frotter l’un contre l’autre mais je pense que Denis s’attend à ce qu’on se suce un peu pour bander à fond. Ensuite, pour mettre le préservatif, on va devoir utiliser nos dents, notre bouche et notre langue pour le faire coulisser le long de notre bite. Et pour réussir à éjaculer dans le préservatif, je ne vois pas trop comment faire si ce n’est en faisant une fellation. Ça me semble évident. Un petit 69 entre nous deux. C’est ce que Denis attend de nous. Alors, si tu veux vraiment faire partie de l’asso, je crois que tu n’as pas trop le choix. Et tu sais, tu ne vas pas en mourir et personne d’autre ne le saura de toutes façons. T’inquiète, je n’irai pas crier sur tous les toits qu’on s’est sucés.

Un long silence s’en suivit. Jérémy semblait vraiment très troublé et n’osait plus rien dire. Puis il me demanda :

— Tu l’as déjà fait ?

— Oui.

— Et ce n’est pas trop bizarre ? Un peu crade ?

— Il ne faut pas y penser. Ne te dis pas cela car sinon, tu vas te bloquer et ça ne marchera pas. Pense à autre chose. Je vais commencer en premier de toutes façons, ça te laissera le temps de te mettre en conditions.

— En tous cas, si ma copine le sait, elle ne comprendra pas et elle m’en voudra.

— Ne lui en parle pas. Invente un autre type de bizutage. Dis-lui que c’était quelque chose de soft.

• 69

J’ai alors invité Jérémy à s’allonger sur le sol, plus ou moins en position fœtale. Puis, je me suis allongé à mon tour, mais de façon à faciliter un « 69 »… J’étais conscient que Jérémy aurait du mal mais je lui ai fait comprendre qu’il faudrait tout de même qu’on soit assez synchro pour que tout se passe pour le mieux, surtout pour lui. Je me suis ensuite avancé vers son sexe que j’ai embrassé. Puis, j’ai commencé à le lécher. Des testicules jusqu’au gland. Tout y passa. Je le savourais. Je remarquais que sa verge commençait à durcir un peu. Je suis alors passé à l’étape suivante et j’ai fait entrer son sexe profondément dans ma bouche et j’ai commencé à le sucer. Jérémy ne semblait pas vraiment détester le fait que je le suce et mes mouvements de bouche étaient accompagnés par un mouvement de bassin de sa part. A chaque fois, il essayait de faire entrer son sexe un peu plus profondément dans ma gorge.

Puis, soudainement Jérémy embrassa mon sexe à son tour, alors que je m’attardais toujours à sucer le sien. Je sentis sa langue me caresser la hampe, puis mes testicules. Quelques instants plus tard, après une légère hésitation, il faisait entrer mon gland dans sa bouche. Nous avons alors commencé une « 69 » particulier. Il était clair que Jérémy appréciait véritablement de se faire sucer mais il était aussi très clair qu’il n’était pas particulièrement friand de me pomper. Néanmoins, après quelques minutes, l’effet souhaité était là et nous étions tous les deux en parfaite érection. J’ai alors convié Jérémy à enfiler le préservatif sur mon sexe. Je me doutais que l’opération n’était pas si facile que cela et l’exécuter en position de « 69 » ne faciliterait pas les choses. J’avais peur que Jérémy angoisse en s’occupant de mon préservatif et que cela le fasse débander. Il fallait donc qu’il s’occupe de moi en premier, comme cela, s’il perdait son érection dans l’action, j’aurais tout le loisir de le faire de nouveau bander ensuite. Je savais pertinemment que moi, je resterais en érection dans tous les cas.

Jérémy a alors saisi le préservatif du bout des dents. Je me suis allongé sur le dos et Jérémy s’est approché de mon sexe. Je le guidais et le conseillais sur la marche à suivre. Il a alors déposé lentement le préservatif sur le bout de mon gland puis, avec sa langue et ses dents, il a commencé à le dérouler péniblement le long de mon sexe. Cela dura de longues minutes et ce que je craignais arriva. Le pénis de Jérémy redevint tout mou. Il ne prenait aucun plaisir à dérouler le préservatif sur mon sexe. Cela semblait même être une véritable contrainte. Mais il y arriva néanmoins. Le préservatif en place, je dus alors de nouveau sucer un peu Jérémy pour redonner de la vigueur à son membre viril. Son sexe de nouveau en érection, je me suis alors saisi de l’autre préservatif et j’ai commencé alors le même processus pour le dérouler le long de sa verge. Je compris rapidement que ce n’était pas aussi facile que j’aurais pu le penser. Vraiment pas facile même ! Mais je me suis bien appliqué et quelques minutes plus tard, les deux préservatifs étaient, plus ou moins, en place.

— Tu vois, le plus dur est fait maintenant. Encore un dernier petit effort et tout sera terminé.

— Oui, tu as raison. Mais c’est un peu gerbant quand même. Je ne sais pas si je vais pouvoir aller jusqu’au bout tu sais.

— Ce serait bête de t’arrêter maintenant après tout ce que tu as fait ! Fais-moi confiance !!! Laisse-toi aller et ne pense à rien. Pense seulement à ce que je suis en train de te faire.

Puis, j’ai repris ma position et j’ai laissé son sexe, désormais emprisonné dans le préservatif, pénétrer ma bouche. Jérémy s’est lui aussi remis en position et a guidé mon pénis durci en lui. Le latex ne me procurait pas la même sensation. Cela ne me paraissait pas aussi intense. Le goût du préservatif était si fade à côté du goût d’un sexe masculin. J’aurais aimé pouvoir arracher ce bout de latex. J’aurais aimé pouvoir sentir le sperme de Jérémy jaillir dans ma gorge. Mais cela n’était pas possible. Nous devions remplir nos préservatifs. C’était notre mission. Nous nous sommes sucés encore pendant de longues minutes. Jérémy avait, de temps en temps, quelques hauts le cœur, mais il réussit toujours à se contrôler. Je fus le premier à éjaculer. Je sentais mon sperme se déverser dans le préservatif et je me demandais comment Jérémy vivait cela. Il retira mon sexe de sa bouche assez rapidement et sembla l’observer quelques instants avec dégoût… Mais la fellation que j’étais en train de lui faire reprit le dessus et il ferma les yeux et se laissa envahir par le plaisir. Un peu plus d’une minute plus tard, il laissa échapper une sorte de grognement alors que son corps était parcouru de spasmes. Je sentais son sexe tressaillir à chaque jet de sperme. Je maintins son pénis dans ma bouche encore pendant de longues secondes puis, je le retirais. Je pouvais admirer son préservatif rempli de sperme. Je souris à Jérémy et il me sourit aussi.

— Tu vois, ce n’était pas si dur que cela. Tu y es arrivé.

— Ouais… Je suis content que ce soit fini. Je n’aurais pas tenu une minute de plus.

Nous nous sommes alors assis sur le lit et avons attendu patiemment le retour de Denis. Nos pénis avaient retrouvé leur taille normale au repos et forte heureusement, nous avions réussi à maintenir nos préservatifs en place.

Quand Denis entra dans la chambre et qu’il nous vit assis sur le lit, le sexe à l’air et les préservatifs là où il faut, il nous sourit et nous dit :

— Félicitations les gars. Je vois que vous y êtes arrivés.

Il s’approcha de nous après avoir refermé la porte à clé derrière lui et il regarda scrupuleusement nos pénis. Il vérifia que les préservatifs étaient bien remplis de sperme. Il alla chercher un rouleau de Sopalin dans son armoire puis revint vers nous. Il arracha quelques feuilles de papier essuie-tout puis il en enroula une autour de ma bite. Il tira légèrement et doucement vers lui pour retirer le préservatif tout en m’essuyant le sexe. Il en fit de même avec Jérémy puis il ajouta :

— Comme ça, vous n’en mettrez pas partout !

Puis, il se mit à rire.

Il nous demanda ensuite de nous lever, puis il nous libéra les mains. Cela faisait tout drôle de pouvoir de nouveau bouger les bras, les mains, les doigts. Denis nous montra le petit lavabo à l’autre bout de la pièce et nous dit :

— Lavez-vous la bite et rhabillez-vous.

C’est bien entendu ce que nous avons fait.

Une fois rhabillés, Denis nous serra là main et nous souhaita la bienvenue dans l’association.

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