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Choix cornélien
par Morgan le, 20/04/2021

Suite à un pari entre potes, je devais me faire larguer en slip ou en caleçon sur une aire d'autoroute à quelques kilomètres de chez moi et rentrer par mes propres moyens. Comme on était en plein été, je faisais contre mauvaise fortune, en me disant que je ne risquais pas trop de prendre froid. Mais je n’avais pas tout prévu...

Le samedi soir, j’ai reçu un mail ainsi rédigé : «Prépare-toi, on vient te chercher demain chez toi au lever du soleil pour t'emmener où tu sais dans la tenue ad hoc» (fin de citation)...

J’ai donc choisi mon boxer-short le plus grand et le plus confortable, un compromis qui m’a paru judicieux entre le slip et le caleçon. Malgré tout, je n’ai pratiquement pas dormi de la nuit car la perspective de me retrouver presque nu dans un lieu public à plusieurs kilomètres de chez moi m’inquiétait et m’excitait tout à la fois...

Le dimanche à l’aube, les potes ont sonné à la porte de chez moi, alors que je me trouvais encore en pyjama. Je vous laisse imaginer les commentaires : «Alors, c’est le grand jour ? Tu as prévu un sandwich pour la route ? Mais on avait dit en slip, qu’est-ce que tu attends ?» - et ainsi de suite…

Après avoir ôté mon pyjama devant eux, j’ai enfilé mon boxer et je me suis baissé pour prendre une paire de sandales... mais c’est alors qu’ils ont réagi de façon totalement inattendue pour moi : «Désolé, on avait dit en slip ou en caleçon, mais on n’avait pas parlé de sandales »…

J’ai essayé d’argumenter : pour moi, c’était sous-entendu que j’avais le droit de porter quelque chose aux pieds, ne serait-ce que pour des questions d’hygiène et de sécurité, pour éviter de me blesser ou pour courir plus vite en cas de danger... Ils m’ont rétorqué qu’on en rediscuterait plus tard.

Ils m’ont ensuite obligé à les accompagner dans l’ascenseur, vêtu seulement de mon boxer et de mes sandales. La descente m’a paru interminable car j’habite au sixième étage et je m’attendais à tout moment à voir l’ascenseur s’arrêter pour laisser entrer quelqu’un.

Arrivé au rez-de-chaussée, il me restait encore à traverser le hall et à rejoindre le parking, mais personne ne m’a vu car la plupart de mes voisins étaient en vacances… Et c’est ainsi que je me suis retrouvé, quelques minutes plus tard, enfermé dans un coffre de voiture, aussi impuissant qu’un chien que ses maîtres se préparent à abandonner sur la route des vacances…

La bagnole a roulé pendant près d’une heure avant de s’arrêter. Mon stress n’a cessé de monter pendant tout le trajet car j’imaginais qu’ils étaient en train de discuter du problème des sandales, mais je ne pouvais pas entendre ce qu’ils disaient et je me demandais ce qu’ils allaient décider.

Arrivé sur l’aire d’autoroute qu’ils avaient choisie, ils m’ont fait sortir du coffre et m’ont dit que je devais choisir entre le boxer et les sandales. Comme je mettais du temps à me décider, ils m’ont fait tirer au sort. Si je tombais sur pile, je pourrais garder le boxer, mais pieds nus. Si je tombais sur face, je n’aurais droit qu’aux sandales...

Evidemment, je suis tombé sur face et j’ai dû ôter mon boxer devant eux. Ils me l’ont quasiment arraché des mains et sont repartis aussitôt en me souhaitant «bonne chance». J’étais abandonné à mon triste sort, nu comme un ver à l’exception de mes sandales et sans solution de repli...

(A suivre)

 

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