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Chantage odieux 6
par Anonymous le, 18/02/2020

Au salon, Nathalie se colla à moi et me dit qu’elle m’avait de nouveau vu à poil… Mais sans parlait du portable…



— Alors ? me dit-elle, que penses-tu de ma proposition ?


Elle me fixe de ses jolis yeux verts, avec un petit sourire sur son charmant visage encadré de cheveux bouclés châtain clair.



— Je l’analyse… répondis-je.


Très séduisante en effet, cette proposition. Tout comme son auteure, d’ailleurs Je la trouvais vraiment charmante avec un petit côté anticonformiste, voire provocateur. Par contre, son physique me semblait tout à fait conforme… conforme à ce qui me séduit toujours chez une fille. Une belle poitrine et des jambes merveilleuses qu’elle savait mettre en valeur en s’habillant un peu court.

Et voilà qu’au moment qu’elle parlait de l’épisode où elle avait été voyeuse, elle me propose, tout de go, de mettre du piment dans les doux moments qui vont suivre en jouant à un jeu déshabilleur. Un jeu déshabilleur qui, quand nous serions moins habillés, pourrait se transformer en jeu à gages, des gages qui pourraient devenir très coquins.



— Comme cela, je verrai si tu sais te tenir, avait-elle ajouté, énigmatique.


Evidemment, j’ai accepté. Le gagnant pouvait enlever le vêtement choisi par le perdant. J’ai pu avec délice découvrir ainsi ses cuisses en faisant glisser sa jupette, puis sa poitrine emprisonnée par le soutien-gorge, puis plus emprisonnée du tout quand j’ai dégagé ses beaux seins lourds. J’en avais profité pour caresser au passage ses cuisses veloutées et même ses fesses bien fermes par-dessus sa petite culotte bleu ciel. Une érection prononcée me tenaillait et j’avais hâte d’arriver à la phase « gages cochons ». Il est vrai que j’avais également perdu pas mal de vêtements. En fait, je me retrouvais également en slip et en retirant mon pantalon, la coquine en a profité pour passer une main mutine sur la bosse qui le déformait, en se passant la langue sur les lèvres pour accentuer mon trouble. Mon sang n’a fait qu’un tour et je gagnais donc le tour suivant.



Et voilà qu’au moment où je me dispose à la mettre enfin toute nue devant moi, elle me fait cette proposition.



— Alors ? répète-t-elle, tu rêves ?


Je rêve en effet et, dans mes rêves, j’imagine la suite en bandant de plus en plus. Car la proposition est la suivante :



— J’adore les jeux. Surtout les petits jeux très cochons. Et j’ai un fantasme. Je vais te caresser, doucement, très doucement jusqu’à ce que tu jouisses. Au moment où tu éjaculeras enfin, je recueillerai ton sperme dans un verre. Nous allons chronométrer le temps qu’il te faudra pour succomber à mes caresses ; si tu tiens 15 mn, tu disposeras de moi.


Je rêve ! Et en rêvant, je descends doucement mon boxer bleue. Vais-je pouvoir tenir suffisamment longtemps pour pouvoir contempler notre futur doux spectacle ? Le désir est le plus fort :



— D’accord !
— Très bien ! Pour corser le jeu, je vais t’attacher les mains derrière le dos. As-tu de la corde ?


Encore ! Bon bah tant pis, Je vais lui chercher la corde et je me laisse ligoter. J’ai soudain un soupçon d’inquiétude, car elle m’attache d’une main experte. Ça fait retomber légèrement mon excitation, mais dans un sens je m’en félicite. Elle pose alors ses mains sur ma taille et commence à me descendre le slip. C’est agréable de se faire ainsi déculotter. Mon sexe libéré jaillit soudain devant son visage.



— Tu es en forme ! J’espère qu’il est juteux… ajoute-t-elle, espiègle. Agenouille-toi sur le canapé, je vais lancer le chronomètre de ma montre.


Je m’installe et c’est parti. Elle commence d’abord à me passer les mains sur tout le corps, doucement, très doucement. Puis elle descend et passe d’un coup une main sous mes couilles, ce qui m’arrache un gémissement de plaisir.



— C’est bon, on dirait ? En fait, je crois que tu ne vas pas tenir très longtemps.


Elle continue et m’effleure la hampe puis le gland de ses doigts agiles. Elle virevolte sur mon bas-ventre, me caresse l’intérieur des cuisses. Quelle experte ! C’est divin. Les minutes passent et je bande de plus en plus. Je résiste. Mieux que je pensais.



— Ça devient difficile, hein ! Mais je ne veux quand même pas que tu jouisses trop vite. Plus c’est long, plus il y en a quand ça vient ! Ça t’en fera davantage à avaler !


La cochonne !



— Ne crie pas victoire trop vite, réussis-je à articuler.


Elle continue ses caresses sur mes fesses maintenant. C’est doux ! Elle revient sur mes couilles.

Elle les chatouille, à présent ! Elle fait de même sur mon gland, avec son autre main. C’est affreux, je vais éjaculer un litre de sperme !



— Il n’est peut être pas temps que tu t’occupes de moi. Je vais t’achever.


La garce, c’est elle qui mène le jeu ! À ces mots, elle saisit le verre, le positionne sous mon gland et continue de me chatouiller les couilles en me regardant d’un air lubrique.

.

— Allez viens, lâche tout ton jus !


Je ne peux plus résister et je mais mes mains sur mon sexe pour qu’elle n’est plus prise.

Stupéfait, elle retire ses mains. Furieuse sans doute, elle à soudainement envie de durcir le jeu, de voir jusqu’où je suis prêt à aller :

.

— Tu veux essayer de tricher ? Très bien, alors je vais rajouter du piment au jeu.
.

Dans l’intervalle, j’essaye de récupérer un peu.

.

— Tu vas subir de nouveau ! Reprends des forces.
.

Quel brin de fille ! Elle ne manque pas d’air. Je prends alors conscience qu’il faut à tout prix que je me montre à la hauteur pour la mériter. Elle commence par profiter de la situation pour passer ses mains sur tout mon corps, j’apprécie.

— Mais le gage sera plus cher ; je vais aller chercher un petit vibromasseur… et je vais doucement entourer ton sexe ; puis je le mettrai en marche. Si tu jouis… ou plutôt devrais-je dire, quand tu jouiras, je te ferais lentement avaler le contenu du verre.
— Humm.
.

Elle insiste sur mon torse. Le caresse. Agace successivement les pointes. Je me trémousse. Me caresse les cuisses. Elle essaye d’être aussi douce qu’elle le fut tout à l’heure. Effleure ma peau. Promène ses doigts avec légèreté sur chaque parcelle de mon corps tout en prenant soin d’éviter mon sexe. Puis y va enfin. Par-dessous mes fesses, elle promène sa main très doucement, très lentement sur ma prostate. Je me dandine légèrement.



— Alors ?


Je ne réponds pas. Elle file dans sa chambre, cherche un vibromasseur pour homme qu’elle cache au fond d’un tiroir et revient :



— Regarde ce bel objet !


Je le fixe sans mot dire.



— Redresse-toi un peu, que je puisse te l’enfiler.


Je m’exécute et elle enfonce l’objet. J’ouvre la bouche alors que mon sexe est désormais protéger d’une certaine chaleur.



— Prépare-toi à décoller, je le mets en marche.


— Oh !
— Je crois que tu y es presque.
— Que tu dis ! répond-je en haletant légèrement.
Elle tourne légèrement l’interrupteur. Le vibromasseur se met en route en émettant un petit bourdonnement. Mais elle fait attention de le laisser à petite vitesse, afin de faire durer le plaisir. Je lui dis, la voix plus très ferme :



— C’est bon ! Tu… es bien équipé en gadgets,… mais ça ne suffit pas… je suis très résistant…
— Tu es un jolie petite menteur ! Tu es à deux doigts d’exploser, de jouir comme une fou, et après que tu auras joui, je verserai lentement le contenu du verre de sperme dans ta petite bouche.
— Tu oseras ? Tu n’as pas honte ? Soumettre à tes désirs un garçon attaché ! dit-je en la regardant avec une candeur feinte.


Cette fois, c’est sûr, je la provoque !



— Et tu avaleras tout !
— Tout ? Ça aurait peut-être été bon… mais non. Ton petit engin… n’est pas assez efficace.


Mais ma voix saccadée traduit la proximité de la défaite. Je la regarde, rivant mes yeux dans les siens.



— Tu te refuses toujours à l’orgasme ? Allez, je te laisse une dernière chance avant de t’achever : tu jouis maintenant, sinon, non contente de boire ce verre de bon jus, tu devras dormir à poil cette nuit.
— Mais… je n’ai pas… envie… de jouir, articule-jz péniblement.


Je n’en crois pas mes oreilles.



— Et tu devras t’exhiber complètement nu sur la plage demain !
— Hmm !
— Cette fois, c’en est trop. Tu l’auras voulu !


Elle passe un doigt sur ma bouche en me disant :



— Tu vas exploser comme jamais !


Je tourne la tête et la regarde la bouche entrouverte. Elle tourne l’interrupteur pour accélérer le vibromasseur à la vitesse maximale en émettant un bruit plus aigu. J’ouvre la bouche démesurément en poussant un petit gémissement. Je me plie en deux sous le coup de l’orgasme ravageur qui me dévaste du jamais vu. Maintenant elle enlève l’appareil et nettoie avec sa longue, continuant un long moment pour consommer ma défaite.



— Alors cette fois, tu as joui ? C’est sûr ?


J’arrête alors le vibromasseur. Elle reprend son souffle et me dit :



— J’ai perdu… Mais que c’était bon, ce que tu m’as fait ! Je subirai donc mon gage… Apporte-moi le verre et je vais boire ce qu’il contient.


Cette acceptation éhontée de ma défaite me rend plus excité encore. Passant sa main entre mes jambes, elle remet alors en marche le vibromasseur en vitesse lente. Je frémis légèrement. Plein de désir, elle caresse mes belles cuisses.

- Tout compte fait je crois que tu ne mérites pas cette liqueur…

Et pour faire durer le plaisir, elle incline lentement le verre vers sa bouche. Le liquide blanchâtre se rapproche lentement du bord. Nathalie ouvre la bouche en tirant la langue. Merveilleuse image ! Elle finit alors d’incliner le verre pour faire couler d’un coup tout le jus dans sa bouche.

Elle tend la main vers le vibromasseur et tourne l’interrupteur pour l’accélérer. Je gémis aussitôt. La salope, de son côté elle agite son majeur dans son anus. Elle hurle de jouissance.

Nous nous écroulons, épuisés. Puis elle me détache et m’embrasse tendrement… avant d’ajouter :



— Et n’oublie pas : demain, tout nu sur la plage !

 

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