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Une colonie de naturistes (PARTIE 2)
par Anonymous le, 21/07/2019

CHAPITRE 11

Au dodo les cocos ? :hum:

Je me lève. Merde...j'avais oublié la bite.

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-------------

Le moniteur me regarde au moment je cache ma queue à l'aide de mes deux mains. Hé ho on est chez les nudistes, mais il a pas mater mes réactions :-(

- Allez filez dans votre maison les garçons.

On sort, Bill et moi et on rejoint notre maison banane. :o))

Je suis réveillé le lendemain par le moniteur qui imite le cocorico du coq. Pitoyable :hum: .
Bill se lève, s'étire et se gratte les :censure:. :doute:
Je me lève et m'étire. La porte s'ouvre.

- Salut les mecs, j'suis Charles, un des monos. Vous allez bien ?
- Heu ouais.
- Ca pourrait aller mieux... :nah:
- Bon alors, aujourd'hui y'a activité. Alors allez déjeuner et on se retrouve sur la plage. Rendez-vous à 10h30.

Il ferme la porte. Ce mono a l'air d'avoir une vingtaine d'années. Il a les cheveux blonds et ondulés. Pas mal beau gosse.

Je sors. Il fait bien chaud même à 8h. Bill et moi entrons dans le resto. Au déjeuner : couques et croissants. Diantre, c'est qu'on va bien manger durant ces 15 jours. :fete: Après avoir mangé, Bill et moi rentrons dans la maison. Aucune trace de Julie. On s'emmerde...on jour aux cartes et quelques minutes il me sort un :

- Bon je m'emmerde je vais sur le PC.
- ?????????? Pardon ? :question:
- Bah oui. J'ai pris mon PC portable.

Au fond de moi ça faisait ça : :bave:
Je n'avais plus touché à un pc depuis tellement de temps. Je devais voir un écran...c'était obligé.
Il sort son PC, le branche. Waaaaaaw ça fait longtemps :ange:

- Bon attends je vais voir si je trouve Julie, ce sera plus marrant à trois.

Il me laisse seul. Je prends son pc et le pose sur mes genoux nus... Le bourdonnement du PC m fait trembler les :censure:...

Je clic sur l'icône de Firefox. Je tapote lentement les touches du clavier. Le site apparaît, rien de tel qu'une de vidéos sur l'anatomie humaine pour bien se réveiller quand on a la tête dans le cul. J'empoigne ma bite et commence ma masturbation.

Tout se passait si bien...trop bien...


CHAPITRE 12

out se passait si bien...trop bien...

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-------------
Mais il fallait qu'on ouvre la porte...à ce moment.
Bon je vais être concret. Arrivés dans la chambre, mes deux potes m'ont vu gicler sur le clavier. Clavier appartenant à mon pote, soit dit en passant.
Ils me regardèrent ahuris. Moi j'étais là penaud, la bite tendue, avec la vidéo qui continuaient inlassablement. Le premier qui rompit le silence fut bill.
- Tu viens de :censure: mon clavier.
Je rougis . J'avais été dans un autre monde, drogué par l'écran et son rétro-éclairage. Je n'avais pas pensé en leur arrivée. Qu'est-ce que j'avais été con !
- Bon l'activité va commencer j'y vais déjà, fit timidement Julie.
Elle sortit. Je restais seul avec Bill, mon désespoir...et ma bite.
- T'es con ou quoi ? Tu prends mon pc et tu te permets de le salir avec ta merde ! me hurle-t-il.
- Désolé...je savais pas que...
- Casse-toi merde ! J'ai plus besoin de toi ! Casse-toi d'ici, t'es qu'un con, pas capable de faire une réserve correctement et obsédé par le luc. T'es trop con va te cacher !

Tout ça m'avait profondément blessé. C'était mon seul et unique ami ici...le seul...et il me laissait...par ma faute

- Tu sais...Je vais te dire quelque chose très clairement. Je sors avec Julie...donc tu dois plus tourner autour d'elle. Elle est au courant que t'es qu'un sale pervers et que tu vaux rien de plus.

Double attaque. En plus de me rejeter, il me piquait la fille que je voulais me faire. Je sortis de la maison. Je cachais mes larmes. J'étais trop triste. Triste de perdre un pote, mon seul, triste de ma connerie, triste d'avoir fait mal à quelqu'un...triste d'avoir perdu la fille que j'aimais.
Pénible vacances sans pc. Mon essai de sortir de l'univers virtuel de ma chambre était un vrai désastre. Je me dirigeais lentement vers la plage. J'avais tout perdu, plus rien ne pouvait me remonter le morale...

Snif


CHAPITRE 13

e me dirigeais lentement vers la plage. J'avais tout perdu, plus rien ne pouvait me remonter le morale...
Snif :snif2:

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-------------

Lentement je marchais. J'étais réduit à néant. Même si je disposais de mon mp3, je me serais pas mis à écouter Systems Radio :noel: . Tout était détruit pour moi.

Presque tout le monde était déjà dans la plage. Même Bill. :gne: Il a fait comment ? Il a pris un raccourci ou c'est moi qui connait pas le chemin ? :hum:
Tout le monde me voit venir. Je ne me dépêche. J'ai pas envie de me dépêcher. Charles, s'occupe de l'activité. Il s'énerve.

- Allez dépêche toi ! On n'a pas que ça à faire.

Par provocation je ralentis. Tout le monde s'impatiente. Moi, ça me fait marrer. Je prends mon temps et à un moment je m'arrête même pour regarder la mer. Je m'en fous, ça m'intéresse pas...mais ça provoque. :-( (

Charles se relève et me prend par le bras. Il m'oblige à m'asseoir par terre. C'est qu'il a été brusque Chacha.

- Bon. Je décris l'activité. Écoutez bien je ne le répète qu'une fois. Tout le monde doit avoir compris. Volley pour les filles, foot pour garçons.

Oulà c'était compliqué :hum: . Je ne peux pas me retenir.

- Oula monsieur c'est dur j'ai pas compris, vous êtes allé trop vite. Les règles sont tellement compliqué, j'ai pas suivi. :sarcastic:
- Bon Franck, arrête de faire ton voyou. Tu vas aller faire du foot comme tout les garçons.

Pff tu vas voir je vais me prendre le ballon dans les :censure:. Tout le monde se lève et se met à courir comme des autruches. Moi je reste assis, tranquille, à mon aise. Je fais un petit dessin sur le sable. Rien d'autre à faire.

Je me lève enfin et me dirige vers les maisonettes.

- Et ooh, toi là. Tu restes ici !
- Mais je dois pisser m'sieur.
- Bon dépêche toi et reviens vite.

Je rentre dans ma maison et prend mon lecteur mp3. Normalement on le prend en cachette et avec les vêtements ça cache. Mais là à poil, ça cache moins. Tandis que je sors...j'ai une révélation.

J'ouvre ma valise et en sort un pantalon et un t-shirt, avec la tête de Nirvana. Je vais fureur sur le terrain. Un habillé chez les nudistes ça promet...

Ma recherche de la provocation avait commencé.


CHAPITRE 14

Un habillé chez les nudistes ça promet...

Ma recherche de la provocation avait commencé.

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--------------

J'enfile mon t-shirt bien noir, bien provoc. Le smiley jaune fait bien son effet, bien flag, personne ne peut le rater. Au dessus c'est écrit en grand Nirvana. Aucun doute possible.

Je mets un bon jeans. Aaaaah cet effet serré sur les jambes. Ca fait presque du bien. Ah le boxer bien serré aussi. Incroyable comme on peut s'habituer en à peine quelques jours. Je sors de la maison. Je m'avance vers la plage. En effet, je remarque une chemin bien plus court. Je l'emprunte. J'arrive sur le sable. Mes pieds ne chauffent plus dans mes All Star. Je m'avance. Quelqu'un lève les yeux vers moi et les ouvre tous grands. Il s'approche de moi en courant.
"- Hé ! Tu vas avoir plein de problèmes. Va vite te rhabiller.
- Rien à :censure:. J'ai une vie de merde. Je m'en fous des conséquences."
Il parait triste.
"- Dis moi tout.
- Je te connais pas, casse toi !
- Allez dis moi tout. Je peux t'écouter et t'aider.
- Mais non va jouer au foot, ce sport primate.
- J'aime pas le foot.
- ...Tu t'appelles comment ?
- Nathan et toi ?
- Franck"
Je lui raconte à peu près mon histoire. Fin...Ce qu'il y a raconter. Je suis un pauvre boulet pas capable de draguer, quelqu'un de primaire qui penses qu'à la bite. Je vaux mieux ?
Nan. Bill me l'a dit clairement. Je suis une merde. Je vaux rien de mieux.
" - Bon. Va te déshabiller et viens jouer au foot."

Mais voilà l'éducateur qui arrive. Charles dans toute sa splendeur.

- Et mais ! Qu'est-ce que tu fous..HABILLE ?
Tout le monde se retourne vers moi. J'ai l'air bizare...pourtant je suis habillé. Incroyable. On aura tout vu.
Charles me prend par le bras et m'emmène vers la maison du chef mono, Marc. Le moniteur frappe trois fois à la porte. La voix du chef surgit avec un 'entrez' plutôt sympa. Le boulet ouvre la porte et me montre devant Marc, qui lui, se sent super bien à poil.

- Et mais ? Qu'est-ce que tu fais habillé ?
- J'avais un peu froid ( :hum: )
- Charles laisse le moi...seul.

Charles quitte la pièce. Je suis seul avec Marc...seul avec le chef.

- Qu'est-ce qu'il se passe Franck ? Qu'est-ce qu'il va pas ?
- Bah rien...
- Si..Explique-moi.

Genre je vais t'expliquer. Mon cul c'est mon poulet :rire:

- Bah non je suis bien mais j'avais un peu froid.
- Bon Franck. Ecoute-moi. Tu vas te déshabiller. Je te laisse une chance. Saisis-la. Déshabille toi et va jouer au foot avec tes amis. Si tu continues à faire ta forte tête je vais être obligé de te renvoyer.

Sorti de cette maison j'ai pensé. Pensé à ce que j'allais faire. Continuer à faire le con ? Oui, mais plus important encore j'allais profiter de ces vacances.
J'allais faire mon provocateur, me :censure: de la gueule des monos, baiser bref j'allais VIVRE.
C'est sur cette phrase que je suis retourné chez moi me mettre à poil...Les vacances s'annoncent courtes :-d


CHAPITRE 15

C'est sur cette phrase que je suis retourné chez moi me mettre à poil...Les vacances s'annoncent courtes :-d

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Je resors de la maison, bien nu sous cette chaleur épuisante. Arrivés sur le terrain, je remarque avec satisfaction que le match de foot a déjà bien commencé. Je m'assis donc à côté. De toute façon j'aime pas ce sport. Assis à l'ombre d'un arbre j'écoute mon mp3 qui parcourt toutes les légendes du rock de AC/DC à ZZ Top.

Je relève les yeux cinq minutes plus tard. Une foule de filles arrive. Leur match de volley est fini. Elles sont toutes ruisselantes de sueur...et toutes nues. Mmmmm :bave:
Une seule, est toute sèche toute mignonne. L'air d'avoir pris sa douche il y a un quart d'heure : sèche et propre :-d .
Elle s'approche de moi.
"-Tu joues pas au foot ?
- Nan j'aime pas.
- Ah. Moi j'aimais pas le volley alors je me suis assis à côté. T'écoutes quoi ?
- Du rock.
- Ah cool moi aussi."
Elle s'assoit à côté de moi. Le contact de sa peau sur la mienne me fait dresser le kiki :-d . Mais c'est pas grave. J'ai décidé de vivre et je ne le cache pas. D'ailleurs, instinctivement, j'ai l'impression qu'elle se rapproche toujours plus.
"-Tu t'appelles comment ? me demande-t-elle.
- Franck et toi ?
- Cécile.
- C'est joli.
- T'es mignon."
Hé hé :diable: . Sur le coup j'ai rien dit. Mais j'ai aimé.
- T'as du Led Zep ?
- Heu oui bien sûr.
- Vas-y mets.

On reste une dizaine de minutes assis à l'ombre à écouter Jimmy Page. Lors du solo de Stairway to heaven elle me demande ce que j'attendais depuis tellement de temps.

"Le sable me dérange je peux me coucher sur toi ?
- Heu ... :diable: . Hé hé, no problem."

Elle s'étend, le dos sur mon ventre. Son visage est posé sur mon épaule. Mon pénis tendu lui touche la cuisse. Ca ne la dérange pas...moi non plus. C'est un vrai plaisir que de sentir son corps...le corps de cette fille que je connais si peu. La chanson finie, elle tourne son visage vers le mien...et lentement nous nous embrassons.
Je sens sa langue chaude contre la mienne. Elles se chatouillent, jouent à se toucher, à se lècher. Je passe ma langue sur ses dents si lisses. Ses mains commencent à se ballader sur mes hanches et caressent mon ventre. Lentement j'approche mes mains de sa poitrine.

"- Hé vous !!!"
Cécile se relève précipitamment. C'est Charles qui nous a interpellé.
- Séparez-vous, et que ça saute !

Bah justement, ça a pas sauté. Et ça c'est à cause de Charles. Il va le payer...ce con :-(

Je m'approche de lui. Mon pénis est encore très droit, mais je n'en ai pas honte. Je veux lui parler...à Charles bien sûr


CHAPITRE 16

e m'approche de lui. Mon pénis est encore très droit, mais je n'en ai pas honte. Je veux lui parler...à Charles bien sûr :-d

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Je suis à deux doigts de son ventre. Il me regarde
- Alors, on fait baibaise ?
- T'es jaloux ?
- Casse toi, associal.
- Et ben l'associal il va quand même se faire un meuf :hum:
- Tu sais pas faire les activités comme tout le monde ?
- Nan. Parce qu'elles sont à chier.
- Allez pars, et laisse le match se finir.
- Okay. Ciao boulet.

Il me regarde partir mais ne répond pas. Je me dirige vers la colo. Je cherche Cécile mais ne la trouve pas. Devant moi se dresse la maison pamplemousse. Julie doit s'y trouver. J'ouvre la porte. J'y trouve en effet Julie en pleine conversation avec sa copine la moche.

- Hé, la cuvette, va pisser et laisse moi avec Julie deux minutes.

Sa copine à monocles me regarde bizarrement.

- Hé ho ça va pas de traiter comme ça mon amie. me dit Julie.
- J'ai besoin de te parler c'est pas la boulette lunettée qui va me faire chier. Allez casse toi.

Elle part effrayée. Julie est mécontente.

- Qu'est-ce qu'il t'arrive ? T'es pas content ?
- Tu sors avec Bill.
- Oui et quoi ? J'ai pas le droit ?
- Mais...il est con ! Il joue au foot. Il a une petite bite fin je sais pas c'est un boulet
- Et ben alors je sors avec un con.

Le silence s'installe.

- T'es amoureux aussi c'est ça ?
- Nan :diable: pas du tout, mais je commence à le connaître et c'est un gros boulet.
- Bon allez c'est chez moi ici, pars.
- Tu le regretteras.
- Bien sûr.

Je sors. J'ai été con. J'ai insulté sa pote, pourtant c'était pas sa faute. Je la retrouve dehors.

- Excuse-moi je voulais pas.

Elle me gifle :banzai: . J'ai pas senti le coup venir :nah: .

Mais je l'ai mérité. Je marche tranquillement. D'un côté je suis content. J'ai dit ce que je voulais. J'ai failli me faire une fille tout va pour le mieux. Tandis que je marche, je sens une douce odeur venir du restaurant. Je rentre : personne !
Tiens, c'est bizarre c'est quoi ces cartons sur les tables ?
Je m'approche je lis des prénoms. Merde on nous oblige à nous asseoir à des places spécifiques. Je cherche mon prénom. Mon voisin s'appellera Kevin :hum: .
Pfff...Je me retourne. Personne...
Je cherche le prénom Cécile et je les inverse. Hé hé, Kevin va se retrouver à côté d'un Stéphan. C'est bien ^^
Hé hé, je me prends au jeu et inverse celui de Stephan avec celui de Julie. Hé hé, elle va se retrouver entre un Kevin et une Marie...Non. J'inverse Marie avec Stephan.
Aaaaaah j'ai géré :-d
Je repars heureux :-d J'ai accompli une bonne action.


CHAPITRE 17

Aaaaaah j'ai géré :-d
Je repars heureux :-d J'ai accompli une bonne action.

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Tandis que je marche, j'entends quelqu'un qui m'appelle. C'est Marc.
- Hé, Franck. C'est l'heure du miam miam.

Chaud l'ahuri. Il sait pas dire le diner comme tout le monde :hum:
Je me dirige vers le resto, je vais pas être étonné comme tout le monde des petits cartons. J'suis déjà au courant :-d

J'ouvre la porte. Tous ces petits moutons cherchent leur carton, nerveux de savoir leur voisin. Pitoyable. Moi je m'assieds tranquille. D'un côté j'ai un certain Philippe et de l'autre Cécile. Philippe...ça me dit quelque chose...
Et là je le vois...le chiant du bus. Il s'installe à côté de moi.
" - Et Franck ! Quelle surprise ! C'est Philippe !
- Je vois ça :-d
- On va pouvoir parler tranquillement.
- On pourrait :-d
- Super !"
Et là je lA vois. Cécile, magnifique. Elle a changé sa coiffure elle encore plus classe. Je fixe chaque détail de son corps (sans aller trop bas bien sûr :-d )) )
Ses cheveux blonds glissent jusqu'à ses épaules. Ses petits regards mignons, sa petite bouche. Tout me fait frétiller. Ses seins, d'une taille parfaite, sont juste parfaitement tenus. Elle est mince sans être maigre. Ses infinissables jambes ne sont pas si grandes...mais on a le vertige quand on les regarde.
- Ah coucou Franck. On en a eu de la chance d'être assis à côté.
- Quelle heureux hasard :coeur:

Elle s'assoit et pose sa main sur ma jambe. Elle la caresse doucement. Pour m'amadouer ? :question:

- Et !! Franck fais attention elle te touche avec sa main ! s'écrie Philippe.
- Taggle ducon ! :-(

Cécile, gênée retire sa main. Quel con ! Il mérite une petite vengeance.

Au repas une lasagne. J'ai l'impression qu'on va se farcir tous les repas italiens. Elle est pas mauvaise loin de là. Mais bon il reste plus que la pizza et les macaronis. Philippe, lui, mange sans se poser des questions. Il bouffe tout, on pourrait lui passer un bol de cassoulet, il mangerait comme si sa vie en dépendait. Je chope une cuiller, pose une bonne sauce tomate bien brûlante et fais l'effet catapulte sur Philippe. La sauce atterrit sur sa jambe gauche. Il grimace et s'essuie vite la jambe.
- Oups ! Désolé
- C'est pas grave, je sais que tu l'as pas fait exprès.
(Hé hé si tu savais )
Cécile sourit et approche son visage du mien. Lentement nos deux bouches entomattées se frôlent et un petit bisou sort nos deux cavités buccales. C'était mignon mais très agréable.
Philippe me glisse à l'oreille.
- Tu sors avec une fille ?
- Bah ouais, je lui réponds doucement. Pourquoi ? Ca te dérange tête de :censure: ?
- Nan . Mais t'as trop de bol. Tu m'apprends ?
- Y'a rien à t'apprendre.
- Bah si...moi aussi je veux un bisou
- Arrête tu me fous la honte mange et tais toi.

Il enfouit une bonne cuillerée de lasagne dans sa gueule. Je profite pour lui renvoyer de la sauce tomate bien chaude. Ca atterrit tout près de sa bite là. Jay géray

Le repas fini, Cécile et moi sortons. On se dirige vers la plage et nous nous asseyons sur le sable. On se touche, je sens son corps sur le mien. Tous mes sens sont aux aguets. Mais comme rarement, c'est pas du cul que je veux en ce moment...c'est juste être avec elle. Enfin elle s'asseoit et me regarde.
- J'ai pas envie de revenir à l'école après les vacs. Je vais devoir retrouver mon petit copain, faire mes devoirs et tout.
Je tilte au 'petit copain'.
- Tu sors avec quelqu'un ?
- Bah oui et non. C'est juste pour faire genre. Je l'aime pas.
- Quel intérêt alors ?
- Mais pour faire style je sors avec quelqu'un.
- Mais tain ! T'es juste une :censure: alors !
Je commence à m'énerver. Je le sens. J'essaie de me contenir.
- Mais nan, chéri. C'est toi que j'aime.
Elle se couche sur moi. Je sens son ventre sur le mien. Sa poitrine sur la mienne. Mon pénis se dresse. Lentement elle le caresse. Ca me fait plaisir. Elle sait comme adoucir les gens.

Elle le sait...

Nous nous sommes endormis comme ça. Nous ne sommes pas allés plus loin ce jour-là. Ca n'a jamais été mon but. Pour ça, nous avons dû attendre...choisir le moment propice...moment pas si éloigné que ça.


CHAPITRE 18

Nous nous sommes endormis comme ça. Nous ne sommes pas allés plus loin ce jour-là. Ca n'a jamais été mon but. Pour ça, nous avons dû attendre...choisir le moment propice...moment pas si éloigné que ça.

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Je me réveille. Cécile dort encore. Elle a son visage posé sur mon torse. Je sens sa poitrine. Une envie me pousse à la carresser mais je résiste. C'est pas mon but. Je l'embrasse affectueusement le visage. Elle se réveille petit à petit et nous nous embrassons. Comme c'est bon...j'en oublie presque le pc. Nous restons comme ça quelques minutes. Cela éveille notre curiosité. Elle frôle mon pénis et commence lentement à le masturber. Je m'attendais à tout sauf à ça :nah: Mais j'aime bien :-d

Progressivement mon érection devient un véritable arc tendu vers le ciel. Tel un fauve, Cécile saute sur moi et commence quelque chose de fort, nos corps commencent à suer, les caresses deviennent dures, nos deux corps collent. Elle continue à me masturber mais l'action devient plus haletante. Pendant que se déroule la situation surgit une ombre. Nous nous levons tous les deux, transpirants. Devant nous se dresse le petit garçon de 8 ans que j'avais aperçu dans le bus. Son air désemparé est assez mignon.

- Je peux vous poser une question ? demande-t-il.
- Euh quoi ? fait Cécile encore chaude de plaisir.
- Vous faisiez quoi ?
- Heu...bah...,je dis.
- Viens près de nous, répond Cécile.

Le petit garçon s'approche et s'assoit à côté de Cécile.

- Les grandes personnes comme Franck et moi, quand elles s'aiment et bien elles font des choses.
- Des bisous ?
- Ooooh le con.

Oui je sais, je suis pas habitué aux gosses de 10 ans. On sent que Cécile, elle, s'y connait plus au rayon gosses ahuris.

- Oui bien sûr, des bisous mais aussi d'autres choses.
- Comme quoi ?
- Et bien...quand on devient grand il faut qu'on s'amuse, qu'on prenne un peu de plaisir.
- Et vous faites quoi pour le plaisir ?
- Et bien...
- On BAISE MERDE !

J'aurais pas dû mais bon...l'autre gosse, presque en train de draguer ma nana, tu vas voir je me faire cocu par un gosse de 10 ans.

- Allez pars bonhomme.

Le petit garçon s'enfuit en courant.
- Qu'est-ce qu'il y a Franck ?
- Rien.
- Allez dis.
- Bah voilà. L'autre boulet il interrompt notre relation et puis après t'es encore plus sympa avec lui qu'avec moi.
- T'es jaloux d'un gosse de 10 ans coco ?
- Arrête.

Cécile se couche sur moi.

- Embrasse moi !

Je me casse je retourne chez moi, encore déçu par l'autre demi-portion. Je m'installe et je chope ma DS. Je suis seul dans la maison. La porte s'ouvre. Apparaissent Julie et Bill...


CHAPITRE 20

Je ne m'étais pas rendu compte...de ce que j'avais fait.

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Notre relation avait renforcé notre attachement, nous étions devenus deux "fiancés" . Le manque d'ordinateur ne me dérangeait plus, j'ai appris à à faire autre chose. Cécile m'était indispensable. Je passais mes journées entières avec elle. Le lendemain de l'action, j'avais la méga-forme. J'avais fait un bon gros dodo, et je me préparais à l'activité : un karaoké :hum: .
Je sors de la maison. L'ambiance y est spéciale avec Bill. On ne se parle plus. Arrivé sur la plage je vois Charles, une guitare sèche entre les :censure:.
- Salut les gars ! On est tous là ?

Tous ces moutons se mettent à braire 'ouiiiiiiiiiiiiii'

- Bon. Aujourd'hui on va faire un big karaoké. Qui veut commencer ?

Dissimulé derrière un éléphant, Cécile et moi sommes introuvables.

- Alors qui veut commencer ?

Tout le monde se met à crier 'Fraaaaaanck'. 3 jours dans la colo et je suis déjà devenu ultra connu. C'est ça la rançon du succès :-d . Je m'approche de Charles Playboy.

- Alors tu veux chanter quoi ?
- Bah ché pas. Back in black ?
- Euh...je sais pas jouer ça.
- Bon bah Smells Like teen spirit ?
- Un truc normal Franck s'il-te-plaît.

Hé hé, il commence à s'offusquer notre boulet national. Je me laisse pas faire.

- Bon allez, Highway to hell mais c'est bien paske c'est toi.
- UN TRUC NORMAL FRANCK !
- T'insinues que AC/DC c'est pas normal face de pain ?

Je lui arrache la gratte de ses mains. Tout le monde me regarde faire. Je place mes doigts. Et début l'introduction de Back in Black. Ca donne un genre 'http://www.youtube.com/watch?v=us1sbo7N2hA ' sans le boulet derrière au bongo.
Ma voix nasillarde d'adolescent en métamorphose (je vous en avais déjà parlé) rend presque mieux que celle de Brian Johnson. Tout le monde applaudit en rythme...sauf Charles. La chanson finie, je commence à bien me sentir.

" - Alors qui veut chanter ?
- Moi !
- Moi !
- Moi ! "

Charles me regarde stupéfait. Tout le monde me préfère à Charles, même Bill que je vois sourire. Dans la masse des doigts levés, j'en choisis un, pourtant pas levé.

- Bill, quelle chanson veux-tu chanter ?
- Rien laisse-moi.
- Bill...

Mon ex-pote me regarde. Il sent mon regard.

- Je veux bien l'highway to hell, dit-il en souriant. Je commence l'intro et il se met à chanter. Sa voix est marrante. Pas belle, pas moche...normale. La chanson finie il s'approche et me sert la main amicalement. Il me sourit. Je lui rend son sourire. Il retourne dans le public.

J'ai passé une heure et demi à faire chanter des jeunes. Charles s'est cassé. Il est allé parler à Marc qui est venu me regarder. J'ai fait style je le voyais pas. J'ai laissé Cécile pour la fin. Je lui ai fait un accompagnement Stairway to heaven...la chanson que laquelle je l'ai connue.

J'ai fait voter le public. Je leur ai insinué de voter pour Cécile. Ce qu'ils ont fait. Le trophée que j'ai donné à Cécile, se trouve en dessous du nez.

Nous avons terminé le concours avec un merveilleux baiser.


Nous avons terminé le concours avec un merveilleux baiser.

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Mains dans la mains nous sommes retournés à la maison banane. Nous accompagnaient également Bill et Julie, que j'avais présenté à Cécile. A quatre on parlait tranquilement et gentiment dans la maison banane lorsqu'intervint mon super ami, Charles.
- Et les gars ! Activité surprise tous au resto !
- Quoi ? Déjà qu'on se tape une activité par jour, en plus on en a deux ?
- Hé rebelle, je t'ai rien demandé viens à l'activité.

Oulà c'est qu'il se fout de ma gueule en plus...Je lui réserve une vengeance spéciale. Je le hais
Tous les quatre, nous rendons au resto. Là nous attend Marc, à poil avec le chapeau de cuistot.

- Salut les cocos. Aujourd'hui on va faire une activité délirante. On va faire des crêpes que vous devrez manger plus tard comme dîner. Allez tous aux fourneaux !

Alors là . Paske les cuisiniers refusent de bosser ils nous obligent à faire nous même la bouffe ! En tout cas vu mon faible niveau, je suis pas prêt de bouffer...

Par équipe de deux on commence à faire des crêpes. Je devais faire l'équipe avec Philippe (et ouais, obligation de la colo) mais je le remballe et je les fait avec Cécile. Rien à :censure: de leur avis. Heureusement, Cécile cuisine hyper bien et nos crêpes sont l'unes des plus réussies. Lorsque tout le monde a fini, toutes les crêpes sont rassemblées sur une grande table.

- Alors maintenant, la colo a décidé que vous allez manger vos crêpes, déclare Marc, tout content. Goutez les crêpes des autres bien sûr, c'est une activité communautère.

Argh ! après tant d'efforts je vais devoir manger les crêpes des autres ?
Je regarde attentivement les plats : certaines sont blanches, d'autres brunes, on entend certaines craquer...c'est minable ! Personnellement, Cécile et moi nous servons de nos propres créations.

- Et Franck ! Passe tes crêpes, me crie Philippe.
- Va chier !

Je pose mes mains autour de notre assiette. C'est nos crêpes merde !

Philippe se lève et vient en prendre une. Merde. Rapide comme Sonic, je prends le paquet de farine et je lui envoie en plein dans sa gueule. Il riposte avec la botte de beurre qui coule sur ma jambe. Rapidement, le duel devient une bataille collective.

Hé, hé je suis vraiment un king

 

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