Joueur timide (partie 1)
par Gerald le, 07/04/2010Les joueurs de l’équipe de foot m’avaient surnommé «timide» car je ne prenais jamais de douche avec eux après les matchs, invoquant à chaque fois une raison plus ou moins valable. Cela les intriguait jusqu’au jour où, après un match joué dans le village voisin, notre entraîneur nous imposa à tous de prendre la douche avant de quitter les vestiaires. Ne pouvant plus me dérober, je fus contraint de me déshabiller moi aussi et d’aller prendre ma douche avec les autres en essayant de me faire voir le moins possible. Les premières vannes et les premiers rires ne tardèrent pas à fuser. Je n’osai pas répondre mais je compris que les ennuis ne faisaient que commencer…
Une fois sorti de la douche, l’un des plus grands me sauta dessus et me prit le sexe à pleine main. Sous les rires des autres joueurs, je me retrouvai plaqué au sol, bras et jambes écartés par des mains vigoureuses. J’essayais de crier, mais l’un d’eux me mit sa serviette sur la figure pour étouffer mes cris. Mon supplice prit fin avec l’arrivée de l’entraîneur dans les vestiaires. Il ne comprit pas bien ce que je faisais assis par terre, tout nu, essayant de reprendre mes affaires pour me rhabiller…
Lors du match suivant, les joueurs m’accusèrent d’avoir mal joué et une «mise à poil» fut décidée par la majorité des joueurs. En quelques secondes, je me retrouvai plaqué au sol et mes vêtements furent enlevés les uns après les autres. Après mon maillot, puis mon short, ce fut au tour de mon slip…
Après m’avoir mis nu comme un ver, les joueurs formèrent un mur devant moi et me poussèrent à l’extérieur des vestiaires. Je tapai à la porte, mais celle-ci elle était maintenue fermée par les garçons qui riaient et se moquaient de moi en criant tous en cœur : «il est à poil dehors, il a une petite bite»… Je dus aussi affronter les regards des joueurs de l’autre équipe qui sortaient des vestiaires en riant de me voir à poil dans la cour du stade, les deux mains devant mon sexe pour essayer de cacher ce qui restait de mon intimité. Au bout d’un temps qui me parut être une éternité, la porte s’ouvrit enfin et je pus, sous les rires et les vexations, me rhabiller et rejoindre le minibus qui devait nous ramener en ville…